La première guerre mondiale (1914-1918)

Publié le 1 Septembre 2008

LA PREMIERE GUERRE MONDIALE ET SES CONSEQUENCES
( 4 à 5 heures)

 

 


 le cours en version Tableau Blanc Interactif (TBI par Smart Notebook) 13,1Mo


Objectifs de savoir faire: Méthodologie de l’étude du document en histoire.

Objectifs :
- Connaître les grandes étapes de la grande Guerre
- Comprendre le caractère nouveau et exceptionnel de la Grande Guerre
- Comprendre le traumatisme et ses conséquences (le conflit pose des bases pour l’avenir de l’Europe)
- Evaluer les savoir-faire des élèves en terme d’expression (orale et écrite) et de lecture de différents documents

Introduction
Problématique: La première guerre mondiale, c’est :
1- une guerre totale (totalité de la société, de l’économie, des pays concernés) et la brutalisation des rapports humains.
2- la fin de la suprématie européenne : patriotisme chancelant (mutineries de 1917), régimes qui s’effondrent, déclin de l’influence internationale.
3- Les germes des temps nouveaux : armement, montée de l’influence américaine, triomphe du communisme en Russie, bouleversements territoriaux, évolution des mœurs, naissance de nouvelles idéologies politiques (balancements entre démocratie et dictature).

En quoi cette guerre fut-elle fondatrice d’une violence totale qui marque la première moitié du XXème siècle ?

Vocabulaire Nationalisme, impérialisme, colonie, nationalités, Triple Alliance, Triple Entente, Sarajevo, ultimatum, guerre de mouvement, guerre de tranchées (ou de position), front, arrière, mutineries, traité, armistice, réparations, Diktat, Anschluss.

 

PARTIE I: Les origines de la guerre


A Une Europe dominante

- économiquement: par son industrie et son dynamisme financier, sans oublier le commerce, l’Europe contrôle le monde. Les bourses Européennes contrôlent le marché financier. Les réserves d’or sont énormes.
 

- politiquement: la colonisation permet un contrôle stratégique du monde. Le « modèle européen » a influencé de nombreuses constitutions à travers le monde.
- Géographiquement, culturellement et scientifiquement: l’Anglais, le Français et l’Espagnol se sont répandus dans le monde. La religion chrétienne est transmise au monde (par les missionnaires). Les techniques sont en essors et elles subjuguent les autres continents. Par exemple, tous les prix Nobel avant 1914 sont européens.


B Les puissances européennes sont des rivales sur le plan économiques, politiques et stratégiques.
 

- De nombreuses minorités réclament leur indépendance, le sentiment national est exacerbé. la Serbie, par exemple souhaite unifier tous les slaves du sud au dépend de l’Autriche. On parlera alors de poudrière balkanique.

 

- L’Europe est coupée en deux par deux systèmes d’alliances (France, GB et Russie) contre (Allemagne, Autriche-Hongrie et Italie). Ils s’agit d’accords militaires défensifs. L’Allemagne se sent encerclée : véritable course aux armements et exaltation du patriotisme (pangermanisme). Patriotisme : sentiment d’amour pour sa patrie (nation, état, pays) que l’on est prêt à défendre. Pangermanisme : volonté de regrouper au sein d’un même état tous les peuples d’origine allemande.
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8e/Map_Europe_regimes_1914.png/800px-Map_Europe_regimes_1914.png


 C L’étincelle de Sarajevo
 

Avant 1914, l’Europe est partagée entre des empires autoritaires (Allemagne, Autriche-Hongrie, Russie), des monarchies parlementaires (Royaume-Uni), et quelques républiques comme la France. Les minorités nationales sont importantes.
Le 28 juin 1914, à Sarajevo, François-Ferdinand est assassiné. La Serbie est accusée par l’Empire Austro-Hongrois d’être le commanditaire. Cela permet à l’empire austro-hongrois d’affaiblir la Serbie et de lui déclarer la guerre le 28 juillet. Le jeu des alliances entraîne en 5 jours l’Europe dans la guerre. Dans chaque pays, la guerre est acceptée et les partis se rassemblent en une Union Sacrée (Les pacifistes  comme  Jean Jaurès (assassiné en 1914) sont perçus comme des traitres ou des lâches.
Vocabulaire "Union Sacrée" : Au sein de chaque pays, les oppositions politiques s’effacent, laissant la place à un accord général pour faire face à l’ennemi.
Conclusion L’Europe est rongée par sa désunion et son désir de puissance
Vocabulaire "Impérialisme" : Action qui consiste à mettre un territoire sous sa dépendance.
La France rêve d'une revanche sur l'Allemagne (guerre de 1870)

 

PARTIE II: La « grande guerre » et ses principales phases


A Européenne Les différentes phases de la guerre:

 - Août à décembre 1914: Guerre de mouvement, offensive allemande et contre-offensive française. Guerre de mouvement : la tactique militaire est basée sur la rapidité des mouvements pour pouvoir surprendre l’ennemi. Durant la première phase, guerre de mouvement, les offensives allemandes (plan Schlieffen) permettent d’envahir la France. La contre offensive alliée du maréchal Joffre et la victoire de la bataille de la Marne stoppent la marche ennemie.

Guerre-de-mouvement.jpg


- Entre 1915 et 1917, le front se stabilise et se renforce. La guerre s’élargie (Italie et Roumanie contre Empire Ottoman et Bulgarie) Les troupes s’immobilisent sur un front (p. 22) de la mer du Nord à la Suisse.
 

 

Guerre de position : les armées se font face et aucune n’arrive à percer le front, les hommes sont cachés dans les tranchées et attaquent par vagues successives très meurtrières. (ex: Verdun en 1917).

 

Guerre-de-position.jpg

 



Verdun-en-1917.jpg

 

B Puis Mondiale

Entrée en guerre des Etats-Unis en 1917 Une guerre déjà totale et brutale:

 - Financier: la ruine de l’Europe. On recourt aux emprunts pour financer la guerre. On met en place une économie de guerre. - Humain: Nombre effroyable de morts (Verdun 300 000 morts, 400 000 blessés. En tout 8 millions de morts et le premier génocide (arménien)). Les mentalités évoluent

 - Technologique: les chars, les gaz moutarde

- Géographique: Pour la première fois, quasiment toute la planète est en guerre (si l’on compte les colonies) La révolution russe (Dossier page 28 et 29).  Conséquence, la Russie se retire de la Guerre.

C La vie pendant la guerre
 

- Au front:

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/36/French_87th_Regiment_Cote_34_Verdun_1916.jpg
- Les tranchées, la boue, le gaz, les assauts, la mort.
- Certains obus n’éclatent pas car ils s’enfoncent dans la boue, noyades.
- gelures mortelles
- faim et soif car le ravitaillement n’est pas toujours effectué, et l’alimentation est souvent froide.
- Les toilettes sont de simples trous collectifs, sans intimité, que les pluies remplissent et transforment en cloaques et engendrent des écoulements insalubres.
- Les Poilus voient sous leurs yeux ou à quelques mètres devant les tranchées les dépouilles aux ventres gonflés par les gaz et la chaleur, rongées par les vers, putréfiées…
La-boue.jpg
La boue dans les tranchées
Les cimetières improvisés sont souvent entièrement retournés par les bombardements et les corps à nouveau mutilés et mis à l’air. Les lettres sont censurées, retenues, les Poilus ont leurs propres journaux (le Crapouillot), mais les informations sont filtrées pour maintenir la fibre nationaliste.
 
Alerte-au-gaz.jpg
Une alerte au gaz
 
- A cela s’ajoute l’horreur des bombardements et des assauts, souvent inutiles et très meurtriers. Des armes nouvelles (crapouillot ou mortier, gaz moutarde dès 1915, lance-flammes, mitrailleuses) ouvrent l’ère d’une sauvagerie de masse. La mort est presque animale, dans la boue, sans aucun secours, dans une solitude et une peur atroces Entre 1915 et 1917, les soldats s’enterrent dans les tranchées (700 km) (p. 22).

Cette guerre de position est une guerre d’usure, marquée d’assauts meurtriers et souvent inutiles (la Somme, Verdun, le Chemin des Dames).

L’année 1917 marque le tournant de la guerre :
- mutineries (p. 24) sur tous les fronts
- entrée en guerre des Etats-Unis (atout démographique, économique et militaire)
- révolutions russes et arrêt des combats sur le front russe en décembre 1917
- A l’arrière: Le nouveau rôle des femmes (« les munitionnettes »).
Les conditions de vie sont très difficiles. Les gouvernements des pays belligérants mettent en place une économie de guerre pour fournir le front : réquisitions des matières premières, de la main d’œuvre féminine (« munitionnettes ») et coloniale, des entreprises (Renault), rationnement sur de nombreux produits, recours massifs aux emprunts à l’intérieur et à l’extérieur (en particulier aux Etats-Unis).

Les gouvernements mobilisent les esprits par la propagande (« bourrage de crâne » selon les soldats français) qui entretiennent le patriotisme, mais surtout par la censure (le Canard Enchaîné pour contrer) et la surveillance des correspondances. Mais très vite, dès 1916, l’arrière connaît la réalité du front. Les méthodes employées par les démocraties (France notamment) se rapprochent de celles des régimes autoritaires.

 La guerre est devenue totale : les forces à l’arrière sont réquisitionnées. Les femmes sont employées en masse dans les usines, pour fabriquer des armes et des munitions ou pour faire fonctionner le reste de l’économie. Cette guerre est devenue une guerre industrielle : celui qui gagnera la guerre sera le camps qui aura réussi à entretenir et à dépasser l’autre en production. En ce qui concerne l’industrie, celle-ci en tire des profits énormes, les hommes sont envoyés au front et on manque de main d’œuvre. Les industries sont réorganisées et réorientées vers des productions d’armement ou de biens pour l’armée.


 
 PARTIE III: Le bilan de la guerre.


A L’Europe en 1919
Une partie des nationalités ont trouvé une terre qui leur permet de constituer un pays (mais restent les Kurdes, les Croates, les Moldaves, les Kosovars, les Slovaques...)


B L’Europe dans les années 1920


Une Europe appauvrie:  Il y a bien un vainqueur, mais il est de l’autre côté de l’Atlantique. Les Etats-Unis sont les créanciers de l’Europe. Les états européens doivent reconstruire leur appareil de production (ruines et désolation dans les zones de combats du nord et de l’est de la France, et dans la partie occidentale de l’empire russe) et rembourser des milliards.

Un désastre humain: Cette guerre a fait environ 10 millions de morts et le triple de blessés et de mutilés (« les gueules cassées »), et a engendré les premières déportations et le premier génocide (arménien) du XX°s.

Une génération (les 20-40 ans) a été sacrifiée, les veuves et orphelins se comptent par millions. Verdun (1916) = 300 000 morts (offensive allemande retenue par les Français)

En proportion du nombre de mobilisés, les puissances secondaires sont plus touchées que les grandes puissances état

Pourcentage de mobilisés Serbie 37 % Turquie 27 % Roumanie 25 % Bulgarie 22 % France 16.8 % Allemagne 15.4 %

 
CONCLUSION
Traité de Versailles le 28 juin 1919. Un traité très dur, considéré comme un « diktat » qui attise la volonté de revanche. Les frontières changent mais font toujours autant de mécontents. Le Société Des Nations est créée (SDN), c’est l’ancêtre de l’ONU Les traités ont donné naissance à une paix mort-née et ont créé les conditions de la Seconde Guerre Mondiale. Les années 1914-18, en ébranlant le monde ont orienté dans un sens tragique tout le destin du XX° siècle. La Grande Guerre, par sa violence et sa sauvagerie, illustrée par les combats dans les tranchées, mais aussi par des génocides (Arméniens en 1915-16), annonce le XX° siècle et ses massacres.

 
Fiche de synthèse
Pour cette leçon, je dois savoir:
 - Les principaux repères chronologiques (phases du combat, déclenchement de la guerre, révolution russe...)
- Expliquer ces périodes
- Mettre en relation des documents, savoir les comparer
 - Savoir rédiger un paragraphe

 
Documents
Monument au mort pacifiste de Gentioux (Creuse)

Monument-aux-morts-pacifistes-de-Gentioux--Creuse-.jpg

 
Monument revanchard de Peronne

Monument-aux-morts-revanchard-de-Peronne.jpg



Ressources sur internet :


Pour tout savoir sur la guerre de mouvement en 1914, une animation bien faite. Si vous n'arrivez à lire cette animation, vous pouvez télécharger gratuitement un lecteur flash ici.

  Dans Jalons pour l'histoire du temps présent (site de l'INA), il y a de très intéressantes archives vidéos à consulter (N'oubliez pas de lire le contexte historique.) Après être allé sur le site de l'INA, cliquez sur Jalons, puis sur Première Guerre Mondiale.

Vous pouvez revoir la vidéo sur la chanson de Craonne (écrite par des soldats mutinés en 1917).

Si vous voulez tout savoir sur la bataille de Verdun (et aussi sur les conditions de vie des soldats pendant la Grande Guerre), voici un docu-fiction sur cette bataille meurtrière.

Un jeu interactif très intéressant pour tout savoir sur la vie dans les tranchées comme si vous y étiez (l'odeur en moins...)!

  Un diaporama pour revoir le cours d'une autre façon. Attention, pour lire ce diaporama, il faut que le logiciel Powerpoint soit installé sur votre ordinateur ou vous pouvez sélectionner une visioneuse ici
Sites

 

Trouver les morts de la grande guerre de votre famille

 

Sujets

- Sujet et correction : La première guerre mondiale, ses conséquences politiques humaines, territoriales et matérielles en Europe (brevet 2001)

- Sujet et correction : La première guerre mondiale, une guerre totale (brevet 2005)

 - Sujet et correction Brevet 2010

- Sujet: La vie des soldats pendant la guerre 

- Histoire des arts: La première guerre mondiale

 

 

 

Films à voir

- Les croix de Bois (Bernard, 1931)
- À l'Ouest rien de nouveau (film) (Lewis Milestone, 1930), remake en 1979
- Les Sentiers de la gloire (Stanley Kubrick, 1957)
- Un long dimanche de fiançailles (Jean-Pierre Jeunet, 2004) Bande annonce
- Joyeux Noël (Christian Carion, 2005)  Bande Annonce

 

A Beaugency
Place du Martroi après guerre

Image prise sur l'excellent  site: http://beaugen.net 

Les balgentiens inscrits sur le monuments aux morts décédés pendant la première guerre mondiale:

depuis le monument est déplacé au Square du Souvenir



 

 

ANTHOINE Léon Marie      
ATGER Charles    
BAFFET Louis      
BAYOU Valmy      
BEAUJOUAN Jules Léon      
BEAUPUITS Adolphin    
BELLENOUE René    
BERGES Giraud    
BERTHE Georges    
BILON Georges    
BLASTIER Louis    
BLASTIER Maurice    
BLONDEAU Maurice    
BONGIBAULT Louis Etienne Eugène
BOTHEREAU Alfred    
BOUBOU Maurice    
BOURLIER Alexandre    
BOURLIER Georges    
BOURREAU Marius Eugène    
BRISTCH Marie Hippolyte    
CADOLLE Georges Henri
CAHU Raymond Charles Théodore
CENT Emile André    
CHAMPION Jean    
CHANTOME Paul Edouard
CHARPENTIER Edmond    
CHATONNET Georges    
CHAUMUZEAU Georges
CHAUVIN Léon Paul   
CHERRIERE Léon René   
CHERRIERE Robert Henri   
CHEVALLIER Paul   
CHEVALLIER Robert Edouard Jean   
CHEVRIER Edmond   
CIZEAU Alban Bernard Marie
CLAIRAMBAULT Lucien   
COLIN Emile   
CORBIN Ernest Louis   
COSTE Gilbert   
COUTE Albert   
CROISSANDEAU Julien Alexandre
DANTAN Albert   
DEBRAN Arthur   
DECATOIRE Charles   
DELAHAIS Maurice   
DELOUCHE Ernest Emile
DESCAUSES René   
DEUMIE Baptiste   
DIBOZ Ernest   
DODEMAN Abel   
DOLBEAU Jean   
DOZIAS René   
DREUX Etienne   
DREUX Maurice   
DROUET Alexandre   
DROUIN Auguste   
DRUGEAULT Paul   
DUCHÊNE Jean
DUPUY Maurice   
DURANT André   
DUTAUZIET Gaston   
FAUGOUIN Georges   
FAUVIN Georges Maurice René   
FORTIER Marceau
FORTIER Vincent   
FOUQUIAU Antony   
GAILLARD André   
GAUCHER Marie André   
GAULLIER Modeste   
GAUTHIER Lucien   
GENANS Alexandre   
GENTY Abel Henri
GERMAIN Auguste   
GITTON Cyprien Emile   
GOUCHAULT Lucien   
GRATESOL Henri   
GRILLON Albert
GUILLAUT Marius   
HERON Louis
HOSSELIN Octave   
HUET Joseph   
HUGE Maurice   
IMBAULT Georges   
IMBAULT Maxime   
INGRAIN Victor   
JULLIEN Marius   
LABAUME Léon   
LANDOIS Camille   
LANDOIS Henri   
LANGLOIS Marcel   
LARCHEVEQUE François
LASNIER Eugène   
LAUCHIRE Pierre   
LE HUU Hamh   
LEFELLE Lucien   
LEFORT Paul   
LEGOUT Albert   
LELIEVRE Robert   
LEMOINE Charles Clovis   
LEMOINE Emile   
LEMOINE Jean   
LEPAGE Jacques
LEPAGE Maurice   
LEPISSIER Léandre   
LEPISSIER Martial   
LEVOEUX Camille   
LEZIAN Etienne   
LHOMME Valizé   
LIGNIERE Julien   
LINEAU Désiré   
LORIN Louis   
LOUVY Maurice   
LOYER Henri   
MAITRE Lionel Paulin
MARIOT Charles   
MASSON Auguste   
MATTEI Dominique
MAUPOU Gaston   
MENON Henri   
MOILOU Léon   
MOULIN Henri   
MULARD Maurice   
MUREL André   
N'GUYEN Guiong   
NADOT Marcel   
NAUDIN Jean   
NAUDIN Jules   
NAUDIN René   
NAUDIN Roland   
NIVET Jules   
OBRON Edouard   
OBRON Gaston Maurice   
PASQUIER Eugène
PAUCET Nestor Alexandre   
PAYSANT Albert Désiré   
PELLETIER René   
PINEAU Georges René   
PIREYRE Antoine   
PISSIER Emile   
PISSIER Raymond   
PISSIER René   
POILERAT André   
POUPET Alphonse
PREVOST Marie Eugène   
RABIER Eusèbe   
RABIER Lucien   
RABIER Pierre
REBILON Pierre   
RICHARD Victor   
RICHE René   
RIMBAULT Camille   
RIVIER François   
RIVIERE Pierre   
SAILLEAU Gaston
SALLOMON Georges
SAMSON Léon   
SARDON Charles   
SAUVADE René   
SCHMITT Lucien
SERAFFIN Paul   
SOUCHU Julien   
TETART Georges
THAUVIN Eugène   
THAUVIN Maurice
THAUVIN Paul Théophile   
THERY Jules   
TREHARD Isidore
USSE Joseph   
VEAU Armand   
VENON Jacques
VIMONT Robert   
VOISIN Paul   
VOISIN René   
WETZEL Gaston

 

Rédigé par M. Orain

Publié dans #Les cours d'histoire-géo

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E
Ces trop beaux!
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E
Ces trop beaux!
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E
Ces trop beaux!
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M
<br /> "Diktat" et "Anschluss" ont été vu. Pas forcément écrit dans le résumé il est vrai. Ils sont important mais concernent surtout les années 1930 (montée du nazisme).<br /> <br /> <br />
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F
<br /> Bonjour, euh, pour les mots de vocabulaire à connaitre, il y en a quelque un que l'on en a jamais parler en cours, et qui ne sont même pas dans le Lexique du début d'année, faut-il vraiment les<br /> connaitre ?  ou encore des mot non cocher dans la feuille de lexique (ex les 2 dernier mot allemant, Diktat et Anschluss)<br /> <br /> <br />
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