actualites

Publié le 1 Juillet 2010

Avant l'éternelle chute liée au vacances, on achève avec un beau classement au top des blogs.

Merci aux lecteurs

 

toptop.jpg

Voir les commentaires

Rédigé par M. Orain

Publié dans #Actualités

Repost0

Publié le 6 Juin 2010

Sur France 2, à 20h35

 

 

 

Normandie, en juin 1944. Les forces américaines se lancent - avec de fortes pertes - dans la libération du sol français. Rescapé de la boucherie du débarquement, le capitaine Miller se voit confier une étrange mission. Un soldat du nom de James Ryan a perdu ses trois frères au combat, et l'état-major américain entend faire rapatrier sain et sauf ce cadet d'une famille si rudement éprouvée. Malheureusement, nul ne sait où le trouver, ni même s'il est encore en vie. Avec ses sept hommes, Miller se lance à la recherche du soldat Ryan, à travers combats et décombres. Hantés par le doute et la peur, tous se demandent s'il faut risquer leur vie pour le bénéfice d'une seule...

 

 

puis sur Arte

Allemagne 45 : suicides collectifs

  • Genre : Documentaire - Culture Infos
  • Pays : Allemagne
  • Nationalité : allemand
  • Date de sortie : 2005
  • Durée : 52 mn
  • Tous publics 

 

En janvier 1945, l'avancée des troupes soviétiques sur le front de l'Est provoque une vague de panique au sein de la population allemande. Depuis le début du conflit, les Russes sont en effet présentés dans la presse populaire sous les traits du «bolchévique sanguinaire», mangueur d'enfants et violeur de femmes. Tandis que des milliers de femmes et d'enfants fuient sur les routes devant la menace qui se rapproche, d'autres obéissent à la recommandation des dignitaires du régime : «Mieux vaut mettre fin à ses jours plutôt que capituler». Des vagues de suicides collectifs endeuillent l'Allemagne vaincue. Adelheid Nagel, qui était alors enfant, a survécu à la pendaison infligée aux siens par sa propre mère. Elle témoigne.

Voir les commentaires

Rédigé par M. Orain

Publié dans #Actualités

Repost0

Publié le 1 Juin 2010

http://s1.lemde.fr/image/2010/05/31/512x256/1365737_3_d0c5_substituer-des-larves-a-la-viande-ou-au-poisson.jpg

Substituer des larves à la viande ou au poisson est une des pistes envisagées par les Nations unies pour nourrir 9 milliards de personnes à l'horizon 2050.


 

Brochettes de sauterelles, criquets sauce piquante, purée de punaises d'eau géantes, larves frites, scorpions au chocolat... Le menu n'est a priori pas très ragoûtant, mais il faudra peut-être vite s'y habituer. Le développement de la consommation d'insectes comme substitut de la viande ou du poisson fait partie des pistes étudiées très sérieusement par plusieurs experts, dont ceux de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), pour assurer la sécurité alimentaire mondiale dans les décennies à venir. La FAO est en train d'élaborer des recommandations, et devrait, avant la fin 2010, encourager officiellement ses Etats membres à "maintenir et développer" leur consommation.

 

L'entomophagie présente, selon ses promoteurs, de multiples avantages. Les qualités nutritionnelles des insectes sont grandes. Ils contiennent des protéines, des lipides, des minéraux (zinc, fer), des vitamines, parfois plus que la viande ou le poisson. Et ils ont un bien meilleur rendement que le bétail traditionnel. "Il faut 10 kg de nourriture végétale pour produire 1 kg de boeuf, explique Arnold Van Huis, entomologiste à l'université de Wageningen (Pays-Bas). Alors qu'il en faut seulement un ou deux pour les insectes comestibles." Ils ont également besoin de beaucoup moins d'eau. Or 70 % des terres arables et 9 % de l'eau douce sont aujourd'hui consacrées à l'élevage, qui est en outre responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre, selon la FAO. Quant aux poissons sauvages, ils sont souvent surexploités. Et les poissons d'élevage sont nourris avec... du poisson sauvage. Comment nourrir, dans ces conditions, les 9 milliards d'habitants de la planète en 2050 ?


(...)

Les espèces les plus productives pourraient donc devenir une sorte de "mini-bétail".

Reste à lever l'obstacle du dégoût irrépressible qui s'empare du mangeur à la perspective de croquer une tarentule, même frite. "Il existe un rejet dans l'inconscient collectif, constate Romain Garrouste, entomologiste au Muséum national d'histoire naturelle. Insectes et araignées sont perçus comme sales, grouillants, vecteurs de maladies, destructeurs de récoltes."  (...)


Cette répulsion est d'ailleurs loin d'être universellement partagée. Quelque 1 400 espèces sont consommées en Afrique, en Asie, et en Amérique latine : larves de coléoptères, fourmis, chenilles, criquets, chrysalides des vers à soie, punaises, cigales, grillons, araignées, scorpions... (Avis aux amateurs, cependant, comme pour les champignons ou les végétaux, tous les insectes ne sont pas comestibles.) La Chine, le Japon, la Thaïlande, l'Afrique du Sud, le Mexique figurent parmi les plus importants consommateurs.(...)


Les spécialistes espèrent aussi progresser dans les pays occidentaux. Tout est selon eux une question de "psychologie". "Il suffit de goûter pour recommencer", disent les amateurs. Pourquoi délaisser les insectes quand on consomme du miel, des escargots, des grenouilles ou des huîtres ? Leur saveur est souvent comparée à celle des fruits de mer ou des noisettes. Dans l'Antiquité, les Romains appréciaient les chenilles. D'ailleurs, nous consommons déjà involontairement 500 g en moyenne de résidus d'insectes par an, dans le pain, les jus de fruit...(...) "Les insectes pourraient par exemple remplacer les huiles et farines de poissons sauvages dans l'alimentation des poissons d'élevage", affirme M. Vantomme. Bien que peu connue, la pratique existait en France jusqu'aux années 1980, sur les bords de la Saône, où les éphémères, de petits insectes volants, étaient récoltés et utilisés dans les rations animales. Des essais très concluants ont en outre déjà eu lieu dans des élevages porcins.(...)

 


Autre article sur le même thème

Voir les commentaires

Rédigé par M. Orain

Publié dans #Actualités

Repost0

Publié le 27 Mai 2010

Sur Le Post, une journaliste qui a infiltré la société explique que les bases de données permettent à Acadomia de prétendre "bien connaître ses intervenants".

L'agence Acadomia de Lille

L'agence Acadomia de Lille
MAXPPP


Mauvaise passe pour la société de soutien scolaire à domicile Acadomia: la CNIL lui a adressé un avertissement public pour des "commentaires excessifs dans ses fichiers". Attribués aussi bien aux élèves qu'à leurs parents et aux professeurs, ils contiennent des mentions type "gros con", "hospitalisé en urgence pour une tumeur cancéreuse", ou encore "saloperie de gamin".

Contacté par Le Post, Acadomia s'est défendue en parlant de "graves inexactitudes". Le président de la CNIL a rétorqué qu'il pouvait très bien "divulguer tout le stock d'informations que la Commission détient".

Ce n'est pas la première fois qu'Acadomia est dans la tourmente. Déjà, début 2009, un reportage d'Envoyé Spécial lui avait valu une mauvaise presse: une journaliste s'était infiltrée dans la société, dénonçant un laxisme dans ses méthodes de recrutement des professeurs.

 


(Source: France2)


Sur Le Post, cette journaliste de la boîte de production Ligne de mire, Linda Bendali, explique que les bases de données permettent à Acadomia de prétendre "bien connaître ses intervenants".

Avez-vous eu connaissance, lors de votre infiltration, de la constitution de fichiers à Acadomia?
"Je n'ai pas entendu parler directement de fichiers au sein d'Acadomia. Par contre, dans d'autres sociétés de soutien scolaire comme les cours Legendre, je sais qu'ils constituent des profils de leurs élèves et professeurs. Il y a par exemple un système de notation des intervenants, basé sur l'amabilité, la présentation, les retours faits par les parents, la façon de s'exprimer, etc."

Lorsque vous avez été recrutée par Acadomia, avez-vous dû remplir un profil?
"Les conseillers pédagogiques - c'est-à-dire les employés d'Acadomia chargés du recrutement et du lien entre les parents et les intervenants - remplissent une base de données. Ils posent toute une série de questions et cochent des croix. Cela concerne par exemple nos qualités, ou toutes autres informations que l'on donne dans un entretien de motivation."

Mais là, les fichiers incriminés par la CNIL font état de données très personnelles ou sans rapport avec l'enseignement...
"C'est l'effet pervers de leur système. Acadomia base sa publicité et sa réputation sur le fait qu'elle connaît très bien ses intervenants. Sa communication, c'est 'On établit le profil de votre enfant et on trouve le professeur adéquat". Donc cela suppose d'avoir un maximum de renseignements sur les personnes."

Mais sans informations liées à la pédagogie, ces fichiers sont-ils vraiment utiles?
"S'ils existent vraiment, ils entrent tout à fait dans la logique de rentabilité d'Acadomia. Selon moi, le service n'est pas en adéquation avec les promesses de la société. Acadomia ne connaît pas vraiment ses intervenants, puisqu'elle les rencontre environ 20 minutes le premier jour et qu'après, les contacts se font par téléphone. Donc pour arriver à un semblant de connaissance des professeurs, elle a recours à des méthodes peu correctes. Les fichiers sont l'outil de travail privilégié d'Acadomia. Sans eux, l'entreprise aurait beaucoup de mal à mettre un intervenant en face d'un élève."

Donc il y a bien des fichiers chez Acadomia?
"Je ne sais pas si les fichiers dont parle la CNIL existent vraiment, mais ce que je sais, c'est que lorsqu'Acadomia contacte un intervenant par téléphone, des éléments sont notifiés. Par exemple: si la personne accepte la mission, si elle paraît bizarre au téléphone, si les parents se plaignent de son intervention.
D'autre part, pour un cours payé 30 euros par les parents, seuls 8 à 10 euros servent à payer l'intervenant. Donc plus des deux tiers de la somme reviennent à la société et aux conseillers pédagogiques. Tout ça pour entrer un nom dans un fichier et établir des mises en contact avec les familles. Il faut donc que la société trouve un semblant de rôle pédagogique dans l'affectation des intervenants aux élèves. Cela pourrait passer par une meilleure connaissance des intervenants et par leur formation. Mais ces choses n'existent pas à Acadomia."

Voir les commentaires

Rédigé par M. Orain

Publié dans #Actualités

Repost0

Publié le 25 Mai 2010

http://s1.lemde.fr/image/2010/05/25/546x273/1362570_3_7a8c_pour-luc-chatel-il-s-agit-d-une.jpg

 

Le ministre de l'éducation, Luc Chatel, a l'intention d'expérimenter, dès la rentrée de septembre, dans une centaine de collèges et lycées volontaires un nouveau rythme scolaire favorisant le sport, révèle, mardi 25 mai, Le Parisien-Aujourd'hui en France. Selon le quotidien, "deux à quatre établissements par académie seront retenus", à charge pour eux d'aménager des semaines "où les élèves auront cours le matin et se consacreront à des activités sportives l'après-midi". "Il s'agit d'expérimenter un nouveau rythme scolaire", déclare Luc Chatel, et "ne seront retenus que les établissements volontaires et qui disposent des équipements adaptés".

Pour le ministre de l'éducation,"il s'agit d'une expérimentation qui, pour d'évidentes raisons d'organisation, ne concernera qu'une à trois classes dans chaque établissement concerné". Le plan passe également par la relance du sport associatif scolaire, qui ne compte qu'un petit million de licenciés, précise Le Parisien-Aujourd'hui en France.

 

UN RETOUR À LA SEMAINE DE QUATRE JOURS ET DEMI ?

Interrogé mardi par France Info, Luc Chatel a précisé qu'il avait "déjà demandé aux recteurs de prendre contact, à partir du moment où ils ont identifié des collèges ou des lycées, avec les communes concernées pour que ceci se passe en bonne intelligence"."Dans les pays où cette expérimentation est étendue, cela a eu des résultats en matière d'absentéisme scolaire, poursuit le ministre. Les élèves peuvent s'épanouir différemment, et cela permet de prévenir la violence. Je souhaite que cette expérimentation vienne nourrir la conférence sur les rythmes scolaires que j'installerai le mois prochain, qui traitera de manière beaucoup plus globale de l'organisation du temps passé à l'école, dans la journée, dans la semaine et dans l'année", a-t-il indiqué.

La controverse sur les rythmes scolaires se trouve relancée depuis quelques mois, alors que les principales associations de parents d'élèves plaident pour une remise à plat du système et un retour à la semaine de quatre jours et demi. Pour la Fédération des conseils de parents d'élèves des écoles publiques (FCPE), la semaine de quatre jours entraîne "les journées les plus longues" et "le plus faible nombre de jours de classe" en Europe. Selon l'association, cette organisation du temps d'étude se fait au détriment des enfants qui ne peuvent bénéficier d'activités extrascolaires le mercredi et impose un rythme d'apprentissage trop rapide pour les plus petits. Elle plaide au contraire pour une remise à plat de l'organisation de la journée scolaire afin de mieux "tenir compte des rythmes des enfants selon leur âge". Une position partagée par la Fédération des parents d'élèves de l'enseignement public (PEEP).

De son côté, l'Institut Montaigne a publié en mai un rapport contenant des propositions pour réformer l'école primaire, préconisant un retour à "une année scolaire plus ample et moins dense", avec des semaines de travail "réparties sur cinq jours" et "un calendrier annuel plus long".

Voir les commentaires

Rédigé par M. Orain

Publié dans #Actualités

Repost0